Retrouvons nos trois héros à Montréal. L’équipe est appelée à infiltrer une entreprise de cybertechnologie. La P.D.G., Alexis Stanton, est fatiguée de voir les idées top-secret de son entreprise finir entre les mains de son concurrent. Elle sait qu’il y a une taupe chez elle, mais jusqu’à présent, elle n’a pas été en mesure de l’identifier.Parker, après avoir découvert que l’amour de sa vie était infidèle, cherche à noyer son chagrin et, en même temps, il a besoin de toute l’équipe d’International Guy pour l’aider à trouver le coupable des fuites. Et s’il a une aventure avec la belle patronne sexy, peut-être se remettra-t-il plus vite de sa blessure. Du moins, c’est ce qu’il pense…
Arrivée à mi-série, ce tome sera donc le dernier pour moi. Pourtant, ayant bien aimé Calendar Girl mais, surtout, étant fan de ce genre de petit rendez vous mensuel, j’ai essayé de donner une chance à la nouvelle série d’Audrey Carlan. Mais, malgré quelques espoirs, Parker Ellis aura eu raison de ma volonté.
C’est, pour moi, le gros point noir de cette série et la raison de mon abandon. Parker est un homme macho, égocentrique, dont les réflexions m’ont trop souvent agacée. Dès le premier tome, l’attitude du gus envers les femmes ne m’avait absolument pas fait rêver, bien au contraire. Sa façon de leur parler, et même d’en parler, m’avait très vite refroidie et, malgré quelques légers réchauffements, la situation est restée finalement toujours aussi glaciale entre lui et moi.
Je plaçais de grands espoirs dans sa relation avec Skylar. Le fait que celle-ci s’installe dès le second tome n’était pas pour me déplaire, et j’étais vraiment désireuse de découvrir comment elle allait évoluer au fur et à mesure de l’avancée de l’histoire, mais aussi comment cela allait changer l’attitude du bonhomme.
J’avais aussi une vraie envie d’en découvrir un peu plus sur les autres personnages de la bande qui sont, pour moi, le gros point fort de cette série. Et, avec ce tome, ce fut effectivement le cas – ce qui n’était pas pour me déplaire, étant donné que la bande au complet est réunie !
Sauf que, voilà. C’est Parker qui reste malheureusement au centre de l’histoire. Parker qui ne voit les femmes que comme des bouts de viande (cf l’hôtesse de l’air au début du cinquième tome). Parker, qui m’aura trop vite dégoûtée de cette série et qui n’aura, à aucun moment, réussi à inverser la tendance. Parker qui, par trop d’excès, me fait tirer définitivement ma révérence. Goodbye International Guy…
