Comme une Jedi vengeresse aux cheveux violets rétablissant l’équilibre dans un univers d’hommes, Bee Königswasser vit selon une règle simple : Que ferait Marie Curie ? Si la NASA lui proposait de diriger un projet de neuro-ingénierie, Marie accepterait sans hésitation ! Mouais. Mais la mère de la physique moderne n’a jamais eu à co-diriger avec Levi Ward… son ennemi juré de fac. Séduisant et ténébreux (évidemment). Qui s’est toujours tenu à des années-lumière de distance d’elle. Pourtant, peu après son arrivée à Houston, Bee jurerait voir Levi s’adoucir pour devenir un allié… tout en la dévorant de ses yeux verts. Tous les neurones de Bee sont en ébullition ! Lorsqu’elle doit vraiment passer à l’action et mettre son coeur en jeu, seule une question compte : Que fera Bee Königswasser ?
The love hypothesis avait été un de mes coups de cœur l’an dernier, et j’avais hâte de remettre ça avec Love on the brain. Je me suis donc jetée sur cette parution, que j’ai littéralement dévorée !
Bee est contactée par la NASA pour travailler sur le développement d’un casque spécialement conçu pour les astronautes. Douée dans les neurosciences, elle a hâte de travailler sur ce nouveau projet, qui pourrait redémarrer sa carrière, qui n’a pas beaucoup évoluée depuis sa sortie de l’université. Mais elle découvre que la partie « conception » est confiée à Levi Ward, son ennemi juré de la fac… Ou, du moins, c’est ce qu’elle croit.
Je me suis régalée. J’adore les personnages que construits l’autrice à chaque fois : des femmes fortes et indépendantes, qui savent ce qu’elles valent et ce qu’elles veulent, et des hommes tendres et adorables, dotés d’un intellect bien supérieur à la moyenne mais qui sont perdus quand il s’agit de relations sociales et/ou amoureuses. Bee était géniale, et Levi encore plus. Je suis tombée amoureuse de ces deux personnages en même temps, et j’ai adoré découvrir leur histoire.
L’histoire évolue dans le cadre de la NASA, et j’ai aimé découvrir que cela ne servait pas uniquement à construire des fusées et envoyer des gens dans l’espace. Ali Hazelwood a fait des recherches et ça se sent, et j’ai beaucoup aimé la découverte de cet environnement. Ce mélange entre plusieurs domaines, que ce soit le côté ingénierie, ou encore la partie NIH (National Institute of Heath, à laquelle appartient Bee), mais aussi tous les enjeux qu’il peut y avoir autour de tels projets, où parfois la politique prend le pas sur le développement, ou encore la façon dont les femmes sont vues dans de tels domaines, et bien d’autres choses encore… C’était très instructif, et j’ai vraiment aimé cette immersion.
Quant à la romance, elle prend son temps. J’aime la façon dont l’autrice l’a construite, à la fois si évidente, avec une alchimie dès les premières pages que tout le monde remarque, sauf les principaux concernés. J’ai vraiment aimé Levi et Bee, leur relation qui est passée d’ennemis à amis à amants, l’alchimie qu’ils avaient et toute leur dynamique, ils forment un couple très mignon. J’ai eu des papillons dans le ventre tout au long de l’histoire !
Bref, encore un sans faute et une romance des plus réussies. Ali Hazelwood s’impose et se glisse dans mon top de mes autrices préférées. J’ai hâte de voir ses autres romans traduits en VF, et de la retrouver dans une nouvelle histoire !

Il est dans ma PAL ! ^^ Hâte de le lire 🙂
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J’espère que tu te régaleras tout comme moi ! Je suis encore une fois tombée amoureuse des histoires d’Ali Hazelwood ❤
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